07/12/2012

San Francisco Is A Lonely Town



Il y a comme une héroïsation qui fonctionne à l'aveugle, content d'avoir encore un objet, un homme, un mythe à vénérer. Le fétiche n'est pas seulement l'homme, mais l'homme qui se prend pour la vieille Amérique. 
Comme si revisiter les lieux mythiques était un double bonheur à aimer. 
Si le rêve americain à ce visage, il semble vieux mais me réconcilie avec ce sentiment ambivalent: à travers lui on pari aimer l'Amérique, mais l'aimer comme un regret ou comme une ruine.